La gendarmerie nationale a annoncé sur Twitter la fermeture du célèbre site de téléchargement illégal Zone Téléchargement. La plateforme française était la cible d'une enquête de la C3N.
Le tracker torrent privé What.cd tire sa révérence, après avoir été la plus importante plateforme de téléchargement illégal spécialisée dans la musique en haute qualité au format FLAC.
Attendu aux Etats-Unis le 5 avril prochain, le Blu-ray de Star Wars 7 est déjà disponible en toute illégalité sur la Toile. Le film a déjà été piraté plusieurs centaines de milliers de fois.
Au fil de l'évolution de la puissance des machines et de la qualité des connexions à Internet, les internautes ont modifié leurs pratiques de téléchargement. Parallèlement à ces changements, les dispositifs de lutte contre le téléchargement illégal ont tenté de s'adapter.
La Cour d'appel de Madrid a confirmé la décision de première instance de 2011, en jugeant que le créateur d'un logiciel de P2P, même destiné exclusivement à échanger de la musique, ne pouvait pas être responsable de l'utilisation faite par les utilisateurs du seul fait qu'il fournissait un outil.
Contrairement à ce que certains laissent parfois entendre, peer-to-peer n'est pas forcément synonyme d'illégalité. C’est d’ailleurs ce qu'a voulu démontrer la BitTorrent Inc., en annonçant hier que les chansons mises gratuitement et légalement à disposition par Moby avaient été téléchargées près de 9 millions de fois en 2013, ce qui surpasserait ainsi les échanges d'oeuvres d’autres artistes.
Après Google il y a deux semaines, c'est maintenant au tour de BitTorrent de faire l'objet d'un Zeitgeist, qui permet de tirer quelques conclusions sur les nouveaux modes de consommation du divertissement en ligne.
L'association chargée de défendre les intérêts des studios américains de cinéma demande l'adoption de bonnes pratiques par les professionnels de la publicité. La MPAA souhaite que les sites permettant de télécharger illégalement ne puissent plus bénéficier de ce type de revenus.
Une étude publiée la semaine dernière permet de comprendre le décalage entre les artistes et leurs maisons de disque en matière de téléchargement illégal : la vente de musique ne représente qu'une infime partie des revenus des musiciens.
La présidente de l'Hadopi aurait récemment confié en off que dix millions d'abonnés Internet ont déjà été fichés pour téléchargement illégal en France. Un chiffre anormalement élevé au regard du nombre total d'abonnés haut et très haut débit en France.