La Cour d'appel de Madrid a confirmé la décision de première instance de 2011, en jugeant que le créateur d'un logiciel de P2P, même destiné exclusivement à échanger de la musique, ne pouvait pas être responsable de l'utilisation faite par les utilisateurs du seul fait qu'il fournissait un outil.
Après Google il y a deux semaines, c'est maintenant au tour de BitTorrent de faire l'objet d'un Zeitgeist, qui permet de tirer quelques conclusions sur les nouveaux modes de consommation du divertissement en ligne.