Les pirates à l’origine du vol de données dans les serveurs de Sony Pictures libèrent chaque jour des milliers de fichiers adressés notamment à la presse (voir pour les dernières vagues). Dans le listing des contenus dérobés, mais non encore dévoilés, nous avons remarqué la présence de plusieurs références à notre chère Hadopi.
Suite au piratage de Sony Pictures survenu la semaine dernière, cinq films ont été diffusés illégalement sur Internet. Parmi eux figurent quatre longs-métrages qui ne sont pas encore au cinéma.
La Cour d'appel de Madrid a confirmé la décision de première instance de 2011, en jugeant que le créateur d'un logiciel de P2P, même destiné exclusivement à échanger de la musique, ne pouvait pas être responsable de l'utilisation faite par les utilisateurs du seul fait qu'il fournissait un outil.