On-Live : la fin des consoles et du PC ?

[dd2024]

L'édition 2009 de la Game Developers Conference est truffée de surprises. Alors que les constructeurs et autres éditeurs n'hésitent pas à faire part de leurs annonces, d'autres en profitent pour bousculer les habitudes de l'industrie. C'est le cas avec Rearden Studios qui annonce l'arrivée prochaine d'un nouveau service qui permettra de jouer à tous les jeux de manière optimale sans avoir à acheter une console ou un ordinateur ni même de jeu. La dématérialisation de notre medium n'est peut-être pas si loin que ça...

Vous en avez marre de devoir changer régulièrement la carte graphique de votre PC pour pouvoir faire tourner le dernier jeu à la mode ? L'investissement dans une console de nouvelle génération qui n'assure même pas la rétrocompatibilité vous semble peu intéressant ? Annoncé aujourd'hui même à la GDC, le service OnLive prétend détenir la solution à tous ces problèmes. Le principe est simple : ne plus faire tourner les jeux chez vous, mais sur des serveurs distants extrêmement puissants. Branchez le gamepad sans-fil fourni par le service sur un PC ou un Mac, et vous pourrez jouer, moyennant un abonnement mensuel, aux jeux les plus exigeants, quelle que soit la configuration matérielle de votre machine. Il est même prévu de pouvoir brancher un boîtier spécial sur une simple télévision. Les signaux du pad seront envoyés au serveur via votre connexion internet, qui servira également à réceptionner les images affichées en temps réel sur l'écran. Avec une connexion à 5 Mbps, on nous promet une résolution HD de 1280x720 pixels, à 60 images par seconde. Le projet semble sérieux puisque des éditeurs aussi prestigieux qu'Atari, Eidos, Electronic Arts, Take Two Interactive, Ubisoft ou encore Warner Bros. Interactive le soutiennent. Le lancement, prévu pour l'hiver prochain aux Etats-Unis, sera l'occasion de voir si cette histoire tient la route. Car si, d'un point de vue purement théorique, tout cela est techniquement possible, il risque d'en être autrement en pratique. Le jeu vidéo est un exercice qui ne souffre pas l'approximation et le moindre phénomène de lag peut s'avérer catastrophique. Sachant que ces problèmes de synchronisation sont déjà courants dans une simple partie en multijoueur (où seules les informations de déplacement et d'action sont transmises), on n'ose imaginer ce que cela donnera quand les images haute définition devront emprunter le même chemin. Cependant, si jamais le système devait s'avérer pleinement fonctionnel et couronné de succès auprès des utilisateurs, il s'agira alors d'une véritable révolution qui mettra un terme au piratage (obligation de louer le jeu), au marché de l'occasion (impossible de revendre un jeu dématérialisé) et aux collections de jolies boîtes. Sans compter que les constructeurs de consoles et de cartes graphiques se retrouveront sur le carreau... Changement radical du paysage vidéoludique mondial ou pétard mouillé ? Réponse dans quelques mois, et en attendant, voici des images de la machine, de sa manette et de ses services proposés.

Source : jeuxactu.com

[NegerOne]

Merci pour l'info

[fima]

Hum, avec les différents lobby de l'informatique et les assembleurs de consoles de jeux. Je doutes que ce service est un avenir bien défini.

On verra bien l'idée est sympathique, attendre le résultat du ping sur les FPS ^^

[clema86]

Evolution....évolution....que dire d'autre ...........c ca le progret à venir. Trés belle machine ma fois...

Merci pour l'info.....

[loic62480]

Merci pour l'info

[dd2024]

On-Live : le « cloud gaming » en bêta test

Dévoilée à l'occasion de la Game Developers Conference (GDC) de San Francisco en mars dernier, la société On-Live s'est spécialisée dans ce que l'on pourrait appeler le cloud gaming en référence au cloud computing ou « informatique dans les nuages ». L'idée finalement assez simple de cette société américaine est de limiter au strict minimum le matériel nécessaire pour pratiquer les jeux vidéo de chez soi, en se basant sur la connexion Internet.

En théorie, selon la technique d'On-Live, nous n'aurions alors plus besoin d'un PC puissant ou d'une console de salon, il suffirait d'une sorte de boîtier dans le style des décodeurs satellite pour profiter de jeux « à la demande » lancés sur des machines distantes. À la connexion Internet ensuite de faire tout le travail en servant d'interface entre le joueur et ce serveur distant : la connexion véhiculerait le « fil du jeu » alors que le joueur interagirait exactement comme si le programme était lancé de chez lui... Pour présenter la chose aux incrédules, une démo avait même été faite durant la GDC, mais il n'était alors question que de quelques kilomètres entre les joueurs et les serveurs hébergeant toute l'infrastructure.

Aujourd'hui, On-Live précise un peu les choses et a décidé de montrer les progrès qu'il a réalisé ces derniers mois en lançant une phase de bêta test. La bêta est dite « fermée », il faut donc s'y inscrire pour y accéder, mais elle est surtout limitée aux seuls résidents américains... Cela devrait malgré tout nous permettre d'en savoir un peu plus très prochainement.



Source : clubic.com

[smallo07]

Je pense que malgré tout ce n'est pas vraiment viable pour les raisons suivantes :

- Les sommes colossales en jeu pour les constructeurs actuels (sony, nintendo...), cela mettrait à makl ces géants et de fait poserai de gros problèmes au niveau boursiers

- cela créerait de grandes disparité suivants le lieu de résidence (là ou je réside notamment on n'est pas près de connaitre l'internet dégroupé et de fait des vitesses de connexion suffisantes.

Donc cela peut être une nouvelle façon de jouer mais qui ne se substituera pas à celle actuelle

[dd2024]

OnLive, le service de jeu vidéo à la demande, débutera le 17 juin

Dans un premier temps, la technologie qui pourrait signer à terme l'arrêt de mort des consoles ne sera disponible qu'aux Etats-Unis...

Un an après avoir créé un buzz certain, OnLive a refait parler de lui mercredi. Son PDG, Steve Perlman, a annoncé que le service démarrerait aux Etats-Unis le 17 juin prochain lors de l'E3, le grand salon des jeux vidéo de Los Angeles. Quelques mois de retard sur le planning initial, donc, mais Perlman jure que son service est prêt pour le grand bain.

OnLive, c'est le jeu vidéo décentralisé dans le nuage du net. Pas besoin d'une console ou d'un PC puissant: tout se fait du côté des serveurs de la compagnie (pas comme pour Quake Live, donc) et un flux vidéo passe par les tuyaux pour arriver jusqu'au navigateur Internet de l'utilisateur (ou sa télé via une «box» bon marché). OnLive expérimente même avec l'iPhone.

Scepticisme

Tous les experts rencontrés lors du CES de Las Vegas début janvier ne cachaient pas leurs doutes sur la capacité de Perlman à tenir ses promesses à grande échelle pour des milliers de joueurs, et pas seulement pour des démonstrations dans des conditions idéales.

La grande interrogation, c'est le lag, ce décalage entre le moment où le joueur appuiera sur un bouton et celui où son personnage dans Crysis logera une balle dans la tête d'un ennemi. L'information doit voyager de son domicile jusqu'au centre de données et revenir. Mais OnLive promet qu'avec des centres disséminés dans tout le pays, un joueur ne sera jamais à plus de 1.600 km, avec un lag qui ne acceptable. Ci-dessous, une vidéo avec Crysis en 720p.

Beaucoup de questions persistent également sur le débit nécessaire pour acheminer le contenu. L'an dernier, Perlman avait parlé de 1,5 Mbps pour de la définition standard et 5 Mps pour de la HD. Une performance qui serait possible grâce à un algorithme de compression de données maison. Mercredi, il a expliqué que le principal challenge se trouvait plutôt du côté des «paquets d'informations» qui se perdent dans les tuyaux ou arrivent dans le désordre. Mais selon lui, OnLive arrive à palier le problème avec un algorithme de correction d'erreurs.

Prix et partenaires

L'abonnement au service coûtera aux gamers 14,95 dollars par mois, auxquels il faudra ajouter le prix d'achat ou de location des jeux. Ce dernier sera révélé plus tard. OnLive prévoit de se déployer au Royaume-Uni puis au reste de l'Europe ultérieurement.

Malgré les doutes, OnLive dispose d'une caution de poids, en plus du CV de son cerveau (l'un des gourou de Quicktime): ses partenaires. Electronic Arts, Ubisoft, 2K Games et THQ sont de la partie. Pas encore de liste officielle de jeux pour le lancement, mais OnLive devrait rapidement accueillir des blockbusters comme Mass Effect 2, Dragon Age: Origins ou Assassin's Creed II.

Le service (et ses concurrents) tiendra-t-il ses promesses Dur à dire. Mais dans un avenir à moyen terme, fait de fibre optique et de monstres comme le routeur dévoilé par Cisco mardi, il pourrait bien venir changer la donne. Du côté de chez Sony, Nintendo et Microsoft, on doit secrètement espérer que le 17 juin se transforme en fiasco

Source : 20minutes.fr

[roms113]

C' est l'Avenir.. Ou Pas...

[dd2024]

Moi perso j'y crois sur le papier ça serait une révolution pour le monde du jeux vidéo surtout qu'on arrive au limite des PS3 ou Xbox 360, la Wii est dépassé depuis longtemps aussi, même si ça cartonne toujours car c'est le coté ludique qui est mis en avant

Après il faut que la mise en pratique du On-Live fonctionne en condition réel, et que tous les partenaires suivent

[pako]

les gens ne suivront pas .... pas encore ...

[chris06]

Cloud Gaming : le jeu vidéo sans console ni ordinateur débarque bientôt

OnLive lancera dans un mois aux Etats-Unis son service de jeux vidéo à la demande entièrement dématérialisé. Sans téléchargement, les jeux les plus récents sont exécutés sur des machines distantes qui renvoient l'image en streaming. Une révolution à venir ?

C'est sans doute un aperçu de ce qui arrivera bientôt en France avec le développement de la fibre optique. Selon The Inquirer, l'opérateur British Telecom se serait engagé à prendre 2,6 % du capital de la société OnLive, dans le but de proposer en exclusivité un pack réunissant son offre d'accès à haut débit et un service de jeux vidéo entièrement dématérialisé.

L'idée d'OnLive est de mettre fin aux consoles de jeux vidéo et aux ordinateurs surpuissants des gamers, par un principe de "cloud gaming". Lorsqu'un abonné souhaite jouer à un jeu vidéo, c'est un serveur distant qui se charge de lancer le jeu et de réaliser en temps réel tous les lourds calculs de rendu de l'image et du son. Il n'y a pas de téléchargement. Le joueur ne reçoit sur un petit boîtier que le flux audio-vidéo correspondant. Comme si vous aviez votre téléviseur dans le salon, et qu'un très long câble le reliait à une console hébergée à un millier de kilomètres de là, chez son constructeur.

L'avantage pour les joueurs est qu'ils n'ont pas à se soucier de la compatibilité de leur matériel avec les jeux vidéo, et qu'ils n'ont plus besoin de dépenser des fortunes pour rester au goût du jour. C'est OnLive qui se charge de mettre à jour ses serveurs, pour un coût finalement plus faible qu'un constructeur comme Sony qui doit mettre entre les mains de chaque client une Playstation surpuissante. Ces dernières coûtent beaucoup plus cher à produire que le prix auquel elles sont vendues, et restent la plupart du temps éteintes. Nous sommes loin de l'optimisation des ressources, alors qu'OnLive n'a qu'à ajouter des serveurs dans ses datacenters pour répondre au plus juste à la demande du moment.

Pour les éditeurs, l'avantage ressenti est bien sûr immense. Le risque de piratage devient nul, et il n'est plus possible pour les joueurs de prêter ou de revendre les jeux qu'ils ont fini. Tout n'est plus que la location d'un droit d'accès à une séance de jeu vidéo à distance. Le DRM parfait. La formule pourrait aussi changer le modèle économique de l'industrie. Les éditeurs pourraient ne plus être payés en fonction du nombre de copies qu'ils vendent, mais en fonction du temps que consacrent les joueurs à leurs jeux, par un partage du coût de l'abonnement. Un vieux jeu qui a toujours beaucoup de succès continuerait ainsi à rapporter de l'argent à son éditeur.

Après 8 années de développement dans l'ombre, OnLive prévoit de lancer le 17 juin prochain son service de jeux vidéo à distance aux Etats-Unis. Les joueurs devront débourser 14,95 $ par mois pour accéder au service, depuis n'importe quel ordinateur (Mac ou PC). Un boîtier sera également proposé pour les téléviseurs. Mais attention, les 14,95 $ ne comprennent pas le prix de location ou d'achat (si l'on peut parler d'achat...) des jeux vidéo. Le forfait de base donne uniquement accès aux démos, aux serveurs multijoueurs, aux sauvegardes et autres services désormais bien connus comme les gamer tags, les profiles, amis, etc.

Au départ, six titres seront disponibles : Prince of Persia, Dragon Age Origins, Metro 2033, Borderlands, Assassins Creed 2, et Mass Effect 2.

Des problèmes de latence en vue ?

Mais techniquement, le "cloud gaming" peut-il vraiment fonctionner ? Il y a de quoi être extrêmement dubitatif. Les obstacles technologiques sont nombreux, et pour certains semblent même insurmontables. Comment résoudre les problèmes des temps de latence qui risquent de rendre la plupart des jeux tout simplement injouables ?

On pense bien sûr immédiatement au temps qu'il faudra aux instructions de commande pour parvenir jusqu'aux serveurs des jeux vidéo. Le temps qui passe entre le moment où l'on appuie sur le bouton "tir" et le moment où le serveur reçoit l'instruction est bien sûr plus long lorsqu'il faut passer par le boîtier OnLive où sont branchées les manettes, puis par le modem ADSL, puis par les différents serveurs qui relayent finalement l'instruction jusqu'au datacenter d'OnLive.

Mais on pense surtout au temps d'encodage vidéo qui relèvera de l'exploit technologique si la promesse est tenue. Une fois l'instruction de "tir" reçue, il faut qu'OnLive encode immédiatement l'image correspondante calculée par les serveurs où sont exécutés les jeux vidéo, et qu'il renvoie cette image vers l'écran du joueur avec un temps de latence extrêmement faible pour que le tir apparaisse à l'écran quasiment dès que le joueur a appuyé sur le bouton. On peine à imaginer la puissance de calcul qu'il faut pour délivrer (ce que promet OnLive) un flux haute définition en 720p à 60 images par seconde. Et même à supposer que les serveurs d'encodage soient assez puissants, il reste tout de même la latence imposée par l'infrastructure réseau elle-même.

Pour toutes ces raisons, OnLive préconise au minimum une connexion à 5Mpbs, sans Wi-Fi. Aux Etats-Unis, la start-up prévient que les abonnés devront être à moins de 1000 miles (1600 km) des datacenters présents au Texas, en Virginie et en Californie. L'accord avec BT lui assurera aussi une présence au plus près des abonnés en Grande-Bretagne.

Mais on attend de voir pour le croire. S'il y a déjà eu des démos publiques, elles ont toutes été réalisées dans des conditions optimales qui seront loin d'être celles de la plupart des joueurs. La principale démonstration faite l'an dernier à la Game Developers Conference (GDC) s'était déroulée sur des serveurs situés à moins de 75 kilomètres.

http://www.numerama.com/magazine/15730-cloud-gaming-le-jeu-video-sans-console-ni-ordinateur-debarque-bientot.html

[dd2024]

Merci chris06 pour l'info

Je fusionne ton post avec le sujet consacré au On-Live depuis le temps que je suis se truc, il va enfin sortir lol

[dd2024]

E3 : OnLive, l'avenir dématérialisé du jeu vidéo, c'est demain
A la veille de son lancement, le premier service de jeux vidéo à la demande a profité de l'E3 pour apporter quelques informations complémentaires.

OnLive sera officiellement lancé demain aux Etats-Unis, dans un premier temps. On aimerait le voir débarquer en Europe… La société n'a pas précisé qu'elle envisageait de traverser l'Atlantique !

Ce service fait parler de lui depuis mars 2009, le premier à envisager les jeux vidéo à la demande (GOD, pour games on demand), soit un abonnement et achat/location de titres suivant le principe du cloud computing. L'abonné n'a plus besoin de posséder une machine puissante : un compte, une connexion haut débit, un logiciel installé sur un Mac ou un PC (ou un petit boîtier spécial) suffisent pour jouer.

Toutefois, dans le cadre de l'E3, la jeune société a donné les premiers détails concernant le lancement de son service, jeudi 17 juin 2010. Un programme a été mis en place avec l'opérateur AT&T. Baptisé Founding Member Program, il a ouvert ses portes hier, 15 juin, et les fermera le 15 juillet prochain. Si on veut choisir une autre appellation, on peut dire qu'il s'agit d'une bêta ouverte mais limitée.

Toutes les personnes retenues se verront offrir la première année d'abonnement. Puis, des tarifs préférentiels leur seront proposés la deuxième année, avec un coût mensuel de 4,95 dollars. L'activation des comptes commencera par les propriétaires de Mac et de PC. Il ne semble pas encore question de distribuer les boîtiers permettant de se connecter directement à un téléviseur. Cette montée en puissance en douceur correspond à l'une des pistes de réflexion évoquées il y a quelques mois par Steve Perlman, le fondateur d'OnLive.
La promesse d'un catalogue étoffé

Dès son annonce officielle, OnLive avait précisé qu'il avait reçu le soutien de nombreux éditeurs, parmi les plus importants du petit monde vidéoludique : Electronic Arts, Ubisoft, Take Two Interactive, THQ, etc. Et, à la veille du lancement du service, il a dévoilé la liste des jeux qui seront immédiatement disponibles et de ceux qui arriveront plus tard, soit qu'il faille le temps de les adapter au service, soit qu'ils ne soient pas encore sortis. Prometteuse, la première liste est plutôt courte mais s'étoffera rapidement.

Les titres disponibles au lancement

- Assassin's Creed II (Ubisoft)
- Batman: Arkham Asylum (Square Enix)
- Borderlands (Take Two Interactive)
- Dragon Age: Origins (Electronic Arts)
- Just Cause 2 (Square Enix)
- Mass Effect 2 (Electronic Arts)
- NBA 2K10 (Take Two Interactive)
- Prince of Persia: Les Sables oubliés (Ubisoft)
- Tom Clancy's Splinter Cell Conviction (Ubisoft)

Les titres à venir prochainement

- Alpha Protocol (Sega)*
- Assassin's Creed Brotherhood (Ubisoft)
- Darksiders (THQ)*
- Deus Ex: Human Revolution (Square Enix)
- DRIVER San Francisco (Ubisoft)
- F.E.A.R.3 (Warner Bros. Interactive Entertainment)
- Homefront (THQ)
- Kane & Lynch 2 : Dog Days (Square Enix)
- LEGO Harry Potter : Years 1-4 (Warner Bros.)
- MLB 2K10 (2K Sports)
- Red Faction : Armageddon (THQ)
- Shaun White Skateboarding (Ubisoft)

(*) Versions pour consoles déjà sorties

Source : 01net.com

[dd2024]

OnLive disponible en Angleterre, bientôt en France ?

Le service de cloud gaming est désormais disponible en Angleterre avec une offre solide et l'appui de British Telecom et Game.

En début d'année, nous avions réalisé un dossier sur OnLive. Une sorte de pré-test qui détaillait le fonctionnement et les possibilités de cet étonnant service de jeu en streaming. Depuis, huit mois se sont écoulés. Et fort d'un succès croissant aux Etats-Unis, OnLive se lance aujourd'hui en Angleterre, première cible dans sa conquête de la vieille Europe. Pour ce UK launch, OnLive a décidé de mettre le paquet avec une stratégie agressive et des partenariats de choix. Avec le fournisseur d'accès British Telecom tout d'abord, équivalent anglais de notre Orange. BT offre ainsi trois mois d'accès à l’offre illimitée à ses actuels et nouveaux clients. Avec la chaine de magasins Game ensuite, qui distribuera le boitier télé OnLive dans l'ensemble de ses boutiques. Une micro-console aussi élégante que dispensable puisque pour rappel, OnLive est aussi accessible depuis n’importe quel PC, Mac ou iPad relié à l’Internet mondial par le biais d’une ligne à peu près digne (en clair, oubliez les Hot-Spots et leur débit en mousse).

Côté tarifs, l’équivalence dollar/pound est respectée avec un boîtier (optionnel) à 69,99 livres, un pack mensuel illimité à 6.99 livres et des prix unitaires allant de 3,49 livres pour une location de trois jours à 34 livres pour l’achat définitif de titres récents comme Warhammer 40000 : Spacemarine ou Deus Ex : Human Revolution. Et on termine ce tour des stands avec la cerise sur le gateau. Pour fêter le lancement anglais de la plateforme, OnLive vous brade votre premier achat à 1 livre. Deus Ex pour le prix d’une petite frite, c’est aussi ça le cloud gaming.

Et vous, êtes-vous intéressé par OnLive En remplacement de vos machines ou en complément Quel fournisseur d'accès pour accueillir au mieux l'offre en France

Source : jvn.com

[dd2024]

OnLive Desktop ouvre timidement aux États-Unis

Après le jeu, OnLive s'attaque à la bureautique. OnLive Dekstop est un nouveau service qui offre un accès à un ordinateur sous Windows 7 depuis n'importe quel terminal relié à Internet.

Ce service débute avec Office sur iPad. Une application gratuite est disponible ce matin dans l'App Store américain. Elle offre un accès au service, mais il faut s'abonner à cette adresse et attendre la validation de son compte. Manifestement, la demande est forte et il vous faudra attendre pour utiliser OnLive Desktop sur votre tablette.



En attendant de pouvoir tester concrètement, la vidéo de présentation donne une idée de ce qui attend les utilisateurs d'OnLive Desktop. L'adaptation à l'interface tactile de l'iPad est manifestement réussie : on peut zoomer par pincements, tandis que le glisser/déposer fonctionne de la même manière qu'avec la souris.

Comme prévu, l'accès au service sera gratuit, mais on n'aura alors accès qu'à la suite Office. Pour 9,99 $ par mois, on aura un vrai Windows 7 avec 50 Go de stockage et même la possibilité d'ajouter des applications. OnLive a également prévu des formules pour permettre aux entreprises d'équiper leurs parcs de machines avec ses solutions.

Source : igeneration.fr

[dd2024]

Le service de cloud gaming OnLive, dans la tourmente, a été vendu

OnLive, société pionnière du cloud gaming (jeu vidéo opéré sur des serveurs à distance), a cédé son activité et sa marque à un repreneur anonyme, pour un montant inconnu.

Dans une mauvaise passe, l’entreprise a été vendue alors qu’elle était au bord de la faillite. En filigrane, c’est le modèle économique des services de jeu en streaming qui est en cause : avec une batterie de 8000 serveurs connectés en permanence pour assurer le service, alors que le nombre d’utilisateurs connectés simultanément n’a jamais dépassé les 2000, OnLive a-t-il eu les yeux plus gros que le ventre ?

Le difficile équilibre financier est l’une des principales raisons avancées par les détracteurs des systèmes de cloud gaming. C’est, par exemple, un des motifs cités par Free : contrairement à l’ensemble de ses concurrents, le FAI a choisi de faire tourner ses jeux directement sur le processeur de la Freebox Révolution, et non sur le cloud. Parmi d’autres raisons, l’opérateur pense également que la qualité de service n’est pas encore au rendez-vous, avec un lag (retard) bien trop présent au niveau des commandes pour permettre de jouer correctement.

Suite à l’opération, OnLive continuera à assurer ses services auprès des abonnés. Mais la continuation se fera dans la douleur : seule 20% de la masse salariale, constituée d’entre 180 et 200 personnes, sera conservée.

Source : freenews.fr

[dd2024]

Moi qui suit se projet prometteur depuis plus de 2009... trop déçu En espérant que la reprise sera faire quelques chose avec, cela serait vraiment dommage

Un truc que j'avais pas pensé, et qu'il faut vraiment faire attention, comme les jeux acheter sont dans le cloud ^^ c'est pratique, mais si la société re-fait faillite, les joueurs devront dire au revoir à tous leurs jeux vidéos et donc des centaines/milliers de $

PS: moi je joue qu'au démo et le seul jeu complet que j'ai, je l'ai acheté 1$ lors d'une promo, donc j'ai pas trop d’inquiétude pour mon compte, c'est plus pour ceux qui ont toutes leurs collections que je m’inquiète lol

[xbox360miguel]

Une très mauvaise gestion et c'est la revente suivie d'une diminution de 80% des employés.

Encore des magouilles derrières peut être!?

Je me suis jamais intéressé à ce service et j'espère ne jamais devoir le faire.

Je ne suis pas purement et simplement contre la dématérialisation mais au maximum je préfère privilégier le support physique sur PC/consoles.

[dd2024]

Roi du streaming, OnLive revient aux affaires

Perçu comme un véritable pionnier dans le monde du cloud gaming, OnLive a connu d'importants problèmes financiers.

Après avoir été l'un des pionniers du cloug gaming et engranger les pertes, OnLive a bien failli disparaître en fin d'année 2012, mais un repreneur s'est finalement présenté.

Aujourd'hui, les choses semblent repartir du bon pied pour la société qui paraît tout de même beaucoup plus mesurée dans ses prétentions. Deux offres ont effectivement été révélées afin d'assurer un retour plus rapide à la rentabilité. Baptisée OnLive Playback, la première revient à 10 dollars par mois et donne accès à plus de 250 jeux... Une sorte de location façon Netflix qui dépendra évidemment de la richesse / du renouvellement du catalogue disponible.

Plus surprenante, la seconde - OnLive CloudLift - offre se propose de lier vos compte OnLive et Steam afin de pouvoir - en déplacement, connecté à une autre machine - accéder à votre ludothèque Steam en streaming. Mieux, l'accès aux sauvegardes gérées par le Steam Cloud est même possible. Reste que cette option est facturée par moins de 15 dollars par mois. Un prix relativement mesuré, mais qui risque malgré tout de refroidir pas mal de joueurs.

Source : jeuxvideo.fr