Il insulte par email et se fait démasquer par son adresse IP
Posté: 07 Nov 2009 05:06
Il insulte par e-mail et se fait démasquer par son adresse IP.
Si vous pensez que l’anonymat est encore possible sur Internet, la récente condamnation de l’auteur d’un e-mail anonyme risque bien de vous faire changer d’avis.
Confondu par sont adresse IP
C’est l’ancien directeur général de l’Occitane, distributeur de produits cosmétiques, qui a été condamné en appel pour avoir envoyé un e-mail injurieux à ses collègues. Le 4 mars 2003, il envoie au président, au directeur et à la directrice générale de son entreprise un message depuis une messagerie Yahoo sous le nom « Lenculeurencule ». Il les accuse d’incompétence et de pousser « la société au désastre ».
Manque de chance pour lui, ses collègues reconnaissent tout de suite son style d’écriture et ses tournures de phrases. Ils décident donc de lui demander des explications par e-mail. Le présumé corbeau répond promptement, sans savoir que cette rapidité lui sera fatidique. La société Celog chargée d’analyser les deux messages par l’enquête met en évidence sans peine l’adresse IP commune.
Impossible pour l’ancien directeur général incriminé de prouver comme invoqué dans sa défense que son adresse IP a été usurpée. Il est donc condamné à verser un euro symbolique de dommages et intérêts à ses trois anciens collègues et 3000 euros d’amende.
source :
http://www.bestofmicro.com/actualite/27 ... -mail.html
Si vous pensez que l’anonymat est encore possible sur Internet, la récente condamnation de l’auteur d’un e-mail anonyme risque bien de vous faire changer d’avis.
Confondu par sont adresse IP
C’est l’ancien directeur général de l’Occitane, distributeur de produits cosmétiques, qui a été condamné en appel pour avoir envoyé un e-mail injurieux à ses collègues. Le 4 mars 2003, il envoie au président, au directeur et à la directrice générale de son entreprise un message depuis une messagerie Yahoo sous le nom « Lenculeurencule ». Il les accuse d’incompétence et de pousser « la société au désastre ».
Manque de chance pour lui, ses collègues reconnaissent tout de suite son style d’écriture et ses tournures de phrases. Ils décident donc de lui demander des explications par e-mail. Le présumé corbeau répond promptement, sans savoir que cette rapidité lui sera fatidique. La société Celog chargée d’analyser les deux messages par l’enquête met en évidence sans peine l’adresse IP commune.
Impossible pour l’ancien directeur général incriminé de prouver comme invoqué dans sa défense que son adresse IP a été usurpée. Il est donc condamné à verser un euro symbolique de dommages et intérêts à ses trois anciens collègues et 3000 euros d’amende.
source :
http://www.bestofmicro.com/actualite/27 ... -mail.html